Depuis le temps que je milite pour Plutchik, me voici aux anges. Pascal Aubrit vulgarise par la bande avec talent une partie du considérable apport de cet auteur de la dernière partie du siècle, qui à la suite de Magda B. Arnold, vingt ans après, publia une série d’ouvrages néo darwiniens sur la question des émotions, renouvelant le genre dans une puissante perspective évolutionniste, bien entendus non traduits en français, dont le simple et clair The emotions.
J’avais entrepris dans un article pour la revue Gestalt, à la suite d’une série de travaux conduits dans le cadre d’ARTEX, il y a un moment déjà, d’informer la communauté scientifique de la pensée de Plutchik, appareillée à la mienne propre concernant la question de la catharsis.
Je vais finir par réitérer, dans le cadre des enseignements et entraînements (les deux expérientiellement connectés c’est tout de même mieux que le mode académique classique) de l’école, une série PLUTCHIK ÉMOTIONS, avec des diagrammes plus élaborés que ceux de l’auteur originel.
En attendant, lisez Aubrit, voyez le film (il passe bien auprès des enfants à partir d’à peu près 3 ans), lisez Plutchik en anglais, et bonne année bonne santé psychique !
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