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15 octobre 2008

Aix-Marseille : passage à l’acte & vie sexuelle au CPCT CPCT Marseille

CPCT Marseille

1) passages à l’acte

Samedi 18 octobre 2008

14h30 – 18 h

AIX-EN-PROVENCE

Centre Hospitalier Montperrin
109 Avenue du Petit Barthélémy

3e Rendez-Vous du CPCT-Formation :
Les passages à l’acte,
quelles réponses apporte le CPCT ?

Invité Philippe DE GEORGES Consultant au CPCT-Antibes, Membre de l’École de la Cause freudienne, psychanalyste, psychiatre (Nice)

Une incroyable charité

(1)

Argument : « Le passage à l’acte est un mode de jouissance. Le narcissisme s’y satisfait à l’occasion, par la posture que le sujet s’y donne : un, qui s’affranchirait des normes et des usages, des règles et des conventions, qui déciderait seul sans barguigner et sans ambages, en faisant fi de l’Autre que son geste même nierait. L’analyse permet de soutenir que cette jouissance aveugle n’est jamais que celle qu’ordonne le fantasme. Il y a donc un pari : au sujet qui se croit tout entier dans son agir, faire la grâce de lui supposer une intention inconsciente. Ce serait alors lui faire offre de troquer ses gesticulations contre de la parole et réintroduire le sujet dans celle-ci. Un CPCT peut-il assumer ce pari ? »


Françoise Denan

Rétablir l’ordre

Argument :  » Le cas de Mlle D illustre une question d’actualité : Peut-on déduire la dangerosité d’un patient à partir d’énoncés de menaces? De telles menaces sont-elles annonciatrices de passages à l’acte ultérieurs? Comment comprendre la violence de cette patiente, ignorée d’elle-même, et en déduire une orientation pour le traitement au CPCT? »


Martine Revel

Anonymats

Argument : « Se faire la victime du système et de son histoire familiale était une façon d’être anonyme pour ce sujet qui va se saisir de l’expérience de parole inédite faite au CPCT pour aborder une autre position, singulière celle-ci, même si elle reste fixée à l’anonymat. »


Valérie Ricau

Je me sens pas trop responsable.

Argument : Monsieur M., déprimé, se plaint de difficultés relationnelles qui le contraignent à l’isolement. Sa vie conjugale est le lieu de disputes quasi-journalières qui se soldent régulièrement par des actes de violence physique. Déprime et violence face à une rivalité impossible. Quelles perspectives de traitement pour un sujet qui n’en-veut-rien-savoir et multiplie les passages à l’acte ?
 
L’après-midi sera présidée par Hervé Castanet, directeur du CPCT-M


PROCHAIN RENDEZ-VOUS DU CPCT-FORMATION :
4E RENDEZ-VOUS : LE 6 DÉCEMBRE

LA VIE SEXUELLE ET SES IMPASSES

Renseignements et inscriptions au : 06 70 10 56 49 / 06 76 75 20 91    
Mail : cpct-marseille@orange.fr
Entrée : 30€ jusqu’au 6 octobre. Après cette date: 40€.    
Étudiant : 20€ jusqu’au 6 octobre. Après cette date: 25€.
Formation continue : 60€.
Nombre de places limité.


Rétablir l’ordre

La violence fait l’actualité médiatique – on la rencontre dans l’institution, au travail, à l’école, dans la famille, les couples – au cœur du lien social qu’elle court-circuite. En tant que passage à l’acte agressif, elle angoisse et même traumatise quand elle frappe un sujet ; elle interroge également le patient, auteur d’actes violents, qui s’adresse au CPCT pour un traitement orienté par la psychanalyse. Le discours social et politique cherche à éradiquer ce « mauvais » comportement par une réponse répressive. Ce mode de prise en charge ignore la position subjective du sujet – sa parole est écartée. Or, la violence surgit au moment où le sujet se confronte à l’impossible à dire. Il met en acte cet impossible. Au CPCT la violence n’est pas rejetée mais étudiée dans ses ressorts et retentissements pour le sujet – victime ou auteur de l’acte. Le sujet, mis au travail et rendu responsable de son acte par le dit, vient interroger les coordonnées de la violence qu’il rencontre – l’objectif étant de donner du poids à une parole, pour traduire la jouissance, le pulsionnel qui se retrouve, dans la violence, en panne de mots.

Argument :  » Le cas de Mlle D illustre une question d’actualité : Peut-on déduire la dangerosité d’un patient à partir d’énoncés de menaces? De telles menaces sont-elles annonciatrices de passages à l’acte ultérieurs? Comment comprendre la violence de cette patiente, ignorée d’elle-même, et en déduire une orientation pour le traitement au CPCT? »


Martine Revel

Anonymats

Argument : « Se faire la victime du système et de son histoire familiale était une façon d’être anonyme pour ce sujet qui va se saisir de l’expérience de parole inédite faite au CPCT pour aborder une autre position, singulière celle-ci, même si elle reste fixée à l’anonymat. »


Valérie Ricau

Je me sens pas trop responsable.

Argument : Monsieur M., déprimé, se plaint de difficultés relationnelles qui le contraignent à l’isolement. Sa vie conjugale est le lieu de disputes quasi-journalières qui se soldent régulièrement par des actes de violence physique. Déprime et violence face à une rivalité impossible. Quelles perspectives de traitement pour un sujet qui n’en-veut-rien-savoir et multiplie les passages à l’acte ?
 
L’après-midi sera présidée par Hervé Castanet, directeur du CPCT-M


PROCHAIN RENDEZ-VOUS DU CPCT-FORMATION :
4E RENDEZ-VOUS : LE 6 DÉCEMBRE

LA VIE SEXUELLE ET SES IMPASSES

Renseignements et inscriptions au : 06 70 10 56 49 / 06 76 75 20 91    
Mail : cpct-marseille@orange.fr
Entrée : 30€ jusqu’au 6 octobre. Après cette date: 40€.    
Étudiant : 20€ jusqu’au 6 octobre. Après cette date: 25€.
Formation continue : 60€.
Nombre de places limité.


3e Rendez-Vous de Formation :
« Les passages à l’acte, quelles réponses apporte le CPCT ? »
Samedi 18 octobre 2008, de 14h30 à 18h
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