L’Afforthecc (Jean Cottraux, Tcc) veut changer l’article 52.
Devinez pourquoi…. À cause de ses « contradictions ».
Apparu le 28 décembre 2006 sur le site de l’Afforthecc :
http://afforthecc.org/#1040>http://afforthecc.org/#1040
« — La remise en cause de l’article 52 est évoquée : il devient enfin évident qu’il ne protège pas les patients nécessitant des soins. Ouf ! »
L’Afforthecc-Tcc a « enfin » compris la portée juridique de l’article 52.
Et donc l’Afforthecc veut refaire l’article 52.
Devinez (bis) ce qui va arriver aux « adversaires » de l’article 52 mais qui n’ont toujours pas compris la portée juridique de cet article, alors que l’Afforthecc a compris…
Ceci a été évoqué par Francis Brunelle en flatterie « des psychologues » à la réunion du 19 décembre 2006 au ministère de la Santé :
« Vendredi 15 novembre, Monsieur Francis Brunelle conseiller technique au cabinet du ministre de la santé (Xavier Bertrand) a convoqué les organisations de psychologues pour le mardi 19 décembre. L’objet de cette rencontre était de finaliser la rédaction des décrets d’application de l’article 52.
LA FFPP (Roger Lécuyer) s’est donc rendue au ministère de la Santé, accompagnée par le SNP (Marie-Odile Rucine, Jacques Borgy) et la SFP (Jacques Py).
Compte-rendu de la réunion du 19 décembre 2006 entre Monsieur Francis Brunelle, conseiller technique au cabinet de Monsieur Xavier Bertrand, Ministre de la santé, et les organisations de psychologues suivantes : FFPP (Roger Lécuyer), SFP (Jacques Py) et SNP (Jacques Borgy et Marie-Odile Rucine).
…/…
Monsieur Brunelle nous explique ensuite que pour lui, il faudra certainement changer l’article 52 de la loi, à cause de ses contradictions, mais que pour l’instant, et avant la fin (très proche) de la mandature, il est nécessaire de sortir le décret. …/… »
Monsieur Brunelle, au cabinet du ministre de la Santé, veut donc que soit promulgué immédiatement le décret d’application d’un texte législatif… qu’il dit devoir être changé « à cause de ses contradictions ». Cherchez l’erreur…
Où l’on commence à comprendre que les fameuses « contradictions de l’article 52 » désignent ce qui déplaît « aux psychologues » qui marchent avec, ou plutôt courent devant la DGS et le Plan de santé mentale, mais ce ne serait encore rien, nous assistons maintenant à une convergence de la Dgs, « des psychologues » et des Tcc, Afforthecc, Jean Cottraux… pour modifier l’article 52 qui ne leur donne pas assez satisfaction.
Moralité : Qui veut encore de l’argument sur les « contradictions de l’article 52 » ? …
Cherchez l’erreur, cherchez à qui profite…
Une fois, deux fois… trois fois… adjugé !