Chers amis
Vous trouverez après les annonces habituelles quelques lignes à propos de deux parutions en librairie
Bien à vous
Henri Roudier
SOCIETE DE PSYCHANALYSE FREUDIENNE
Site de la SPF – On peut avoir accès directement à toutes les informations concernant les enseignements et les séminaires en allant à l’adresse suivante :
http://www.spf.asso.fr/page.php?rubrique=enseignements
Napoli, Sabato 1 dicembre 2012
(dalle ore 10:00 alle ore 13:00)
EVENTO CULTURALE DI PSICOANALISI
l’Istituto Italiano per gli Studi Filosofici
(Via Monte di Dio, 14 – P.zzo Serra di Cassano – NAPOLI),
il Centro Psicoanalitico Lacaniano
(Associazione Culturale per la Promozione e la Diffusione della Psicoanalisi)
e il Centro Paul Lemoine
(Scuola di Specializzazione a Orientamento Psicoanalitico)
presentano
UN TESTO
il libro di Elvio FACHINELLI
come pretesto per discutere
SU FREUD
OGGI.
Ne discutono:
Renato BELLINELLO, Cristiana CIMINO, Adalinda GASPARINI e Narciso MATURO
Coordina: Antonio MAIOLINO
INGRESSO LIBERO
Sarà presente Giuditta FACHINELLI curatrice delle opere di Elvio Fachinelli
P.S. In allegato la locandina che potete diffondere a chiunque ritenete possano essere interessati
INFORMATIONS :
www.lacan.it • associazionecpl@lacan.it • istitutocpl@lacan.it
3932128889 • 0817901142
Toulouse 1er décembre 2012
Salle du Sénéchal – 17 rue de Rémusat
Colloque organisé par ESPACE ANALYTIQUE
Le rêve du bonheur selon les neurosciences et selon la psychanalyse
Programme
Ouverture : Monique LAURET. Président de séance : Alain VANIER
• 9h30 – Yorgos DIMITRIADIS : Sur la problématique d’un hypothétique processus psychosomatique impliqué dans la dépression
• 10h00 – Pr Jean-Pierre BOURGEOIS: Un divorce heureux entre Neuroscience et Psychanalyse est-il un rêve de bonheur ?
• 10h45 – Gérard POMMIER : Médiations du bonheur
• 11h15 – Gérard BAZALGETTE: La discontinuité neurospsychique (IV° Groupe)
• 11h45 – Discussion Patrick AYOUN, Jean-Jacques BLEVIS, Bernard
14h30 : Reprise
Présidente de séance : Brigitte DOLLE-MONGLOND (IV° Groupe)
• 14h45 – Patrick LANDMAN : Le bonheur n’est-il qu’un affect ?
• 15h15 – Marie-Jean SAURET : La « pseudo scientificité » dans le formatage de la souffrance psychique (APJL)
• 16h00 – Pr Roland JOUVENT : De la récompense au plaisir psychique
• 16h30 – Monique LAURET : Le rêve, une possible passerelle entre ces deux champs ?
• 17h00 :- Discussion Gorana BULAT-MANENTI, Francis DROSSART
CONCLUSIONS : ALAIN VANIER
Renseignements : lauretmonique@wanadoo.fr
Programme et inscription à l’adresse suivante
http://espace-analytique.org/index.php?option=com_content&view=article&id=255:1er-decembre-colloque-a-toulouse-qle-reve-du-bonheur-q&catid=38:colloques&Itemid=4
Paris, le 3 décembre 2012
Séminaire SPF Christian CHAPUT et Chantal LHEUREUX-DAVIDSE
ESPACE, FORME ET IMAGE DU CORPS
DANS L’AUTISME ET DANS LA PSYCHOSE
Corps absent, corps en mouvement, corps émotionnel
Invité : François De Gandt : « Husserl et le corps vivant »
Paris, le 3 décembre 2012
Ecole Nationale des Beaux-Arts, 14 rue Bonaparte 75272
de 17h00 à 19h00, Amphi du Mûrier
PSYCHANALYSE, ART ET IMAGE V
Cycle de 5 conférences
sous la direction de Alain Vanier, Professeur des universités, Directeur du Centre de Recherches Psychanalyse, Médecine et Société (CRPMS – EA 3522) de l’Université Paris Diderot – Paris 7.
Françoise MELTZER : Ruines, la nostalgie à l’envers
Paris Vendredi 7 & Samedi 8 Décembre 2012
Faculté de Médecine – 45 Rue des Saints Pères – 75006 Paris
GYPSY 2012 Douzième colloque
organisé par le Pr René FRYDMAN et Dr Muriel FLIS-TRÈVES
» Ruptures…et… Renouveau… »
Argument.
Imposées, nécessaires ou volontaires… les Ruptures inévitablement sillonnent l’existence. Elles ne sont pas toutes de même nature.
Le destin biologique en conditionne certaines : la procréation, la naissance, la puberté, le milieu de la vie, le vieillissement, constituent autant de passages susceptibles de générer des crises. D’autres Ruptures sont induites par des causes extérieures : l’adversité, la maladie, l’histoire, les accidents, les conflits…
Les expériences de Ruptures inspirent aussi la littérature. (…suite de l’argument en fichier joint)
Organisme formateur : ADRRH – N° 11921601792
Informations :
JS Congrès – 39-41 Rue Louis Blanc – 92038 Paris la Défense
Tel 33 (0)1.4334.7671 * Fax 33 (0)1.4717.6860
http://www.gypsy-colloque.com/congres-gypsy/gypsy-programme.html
www.jpecho.com
UCL, London. 7th December 2012 – 9th December 2012
Conference
Unconscious Phantasy Today
UCL Psychoanalysis Unit’s 2012 December conference will focus on Unconscious Phantasy. This is the first of several planned meetings that will explore core psychoanalytic ideas and how they are used today. Meetings in 2013, 2014 and 2015 will follow up with topics including Free Association, Transference and Enactment, and Interpretation and Therapeutic Action.
Few psychoanalytic concepts are as important as Unconscious Phantasy. It has played a central role in psychoanalytic thinking for many years, and was first used as a term in any detailed written exposition in Freud’s Interpretation of Dreams (1953 in translation by Strachey on page 570) and then by Melanie Klein in her papers on The Oedipus Complex in the Light of Early Anxieties (1945) and Notes on Some Schizoid Mechanisms (1946). Klein’s use of the concept had certainly been around before that – for example Sylvia Payne proposed that how to interpret it and understand its implications for ordinary transference interpretation should be a core subject for what were to become the Controversial Discussions. When the Discussions began Susan Isaacs’ classic paper on the concept was the first presentation.
Today, nearly 70 years after the term was debated in the controversial discussions, how do we define unconscious phantasy, how do we use it and how is it recognised and interpreted (if at all)?
To discuss our views it is likely that we will need to think not only about what we mean by the concept when applied to daily sessions with patients, but also about the precise meaning of the two component terms during these sessions.
What do we really mean by unconscious, what is it that is unconscious in a psychoanalytic session and how do we recognise it?
What do we really mean by phantasy and where does it come from?
These and other questions will be addressed by David Bell, Michael Brearley and Catalina Bronstein, as well as by others who submit papers in the coming months. David Tuckett will take a large-group clinical seminar early on Friday afternoon and Cathy Bronstein, Chris Mawson, Claire Cripwell, Dana Birksted Breen, David Millar, David Taylor, Edna O’Shaughnessy and Jane Milton will take small group clinical seminars in the early evening.
http://www.ucl.ac.uk/psychoanalysis/events/conferences/conference-reader.php?idvar=135
Offers to present material should be sent to sabina.hussain@ucl.ac.uk.
France Les Rendez-vous de Décembre de l’APM
Samedi 8 Décembre à 14h à Nice
Rencontre avec Houchang Guilyardi
« Le réel, ça me parle »
organisée par l’Association d’Etudes de Freud et de Lacan Local des Mutuelles Santé Plus
5 de la rue Alfred Mortier.
Nice
Consultations psychanalytiques publiques
Malades atteints de pathologies somatiques ou organiques grave
Mercredi 5 Décembre 10h à 13h: Présentation
Mercredi 12 Décembre 10h à 13h: Discussion
Mercredi 19 Décembre 10h à 13h: Elaboration
L’inscription aux présentations de malades est annuelle. Elle est soumise à un entretien préalable.
Clôture des inscriptions : 15 Décembre 2012
Pour participer, contacter Marie Claude Léonard: 06 26 15 79 78 ; marie.leonard@dbmail.com
GROUPE HOPITALIER PITIÉ-SALPÊTRIÈRE Pavillon de l’Enfant
3è étage Salle de conférences du service d’Anesthésie-Réanimation du Pr Pierre CORIAT
Cycle de conférences 2012/2013
Jeudi 13 Décembre 2012 de 21h à 23h
Café Malongo, 50 rue Saint André des Arts, Paris
« De la guérison: Psychanalyse et vérité »
« Un problème de coeur »
par Gorana Manenti
Psychanalyste
Membre de la Fondation Européenne pour la psychanalyse
www.psychanalyse-medecine.org
Paris, le 14 décembre 2012 à 21 h
Espace analytique (A.F.P.R.F)
Suite des Conférences de
MOUSTAPHA SAFOUAN
Le désir de l’analyste et le sophisme de la formation des psychanalystes
au CENTRE OCTAVE ET MAUD MANNONI
12, rue de Bourgogne
75007 – Paris
Tél. 0147052309
espace.analytique@wanadoo.fr
http://www.espace-analytique.org
PARUTIONS
Michelle PERROT
Mélancolie ouvrière,
(Ed Grasset)
Quand Michelle Perrot ressuscite une pionnière du syndicalisme
«Je suis entrée comme apprentie chez MM Durand frères au Péage-de-Vizille, au commencement de 1883. J’avais alors 12 ans.» C’est ainsi que s’exprime Lucie Martin-Baud (1870-1913), ouvrière en soie du Dauphiné, dans un témoignage recueilli en 1908 et qui est l’unique référence permettant de comprendre ce que fut l’itinéraire de cette pionnière du syndicalisme français du début du XXé siècle.
S’appuyant sur des enquêtes généalogiques menées par Gérard Mingat, un ancien conseiller municipal passionné d’archives, Michelle Perrot, historienne du travail et des femmes, s’est lancée sur les traces de cette héroïne qui l’intéressait depuis 1970. Et pour donner corps à son récit, elle n’hésite pas à évoquer ses propres souvenirs d’enfance : vacances campagnardes peuplées de paysans et de gendarmes. Au terme de cette recherche où se mêlent ego-histoire et historiographie, elle montre que Lucie incarne à elle seule la mélancolie d’un mouvement ouvrier d’avant la Grande Guerre dont le destin se confond avec celui d’une révolution impossible : oscillation entre exaltation et désillusion.
Née à Saint-Pierre-de-Mésage, au hameau de la Croix, Lucie devient tisseuse, comme sa mère, à une époque où les ouvrières de la soie passent douze heures par jour rivées à leurs machines : «Parfois la navette blesse le visage, écrit Michelle Perrot, le fil écorche les doigts, le couteau du métier les coupe, les rouleaux les écrasent. Les mains d’ouvrières portent ces stigmates identitaires. Le corps au travail est un corps menacé.»
En octobre 1891, enceinte, elle épouse à Vizille un veuf de vingt ans son ainé – Pierre Baud -, garde-champêtre. Il porte un uniforme et arbore de belles bacchantes. Pour Lucie, bientôt mère de trois enfants, dont l’un mourra en bas-âge, il s’agit d’une promotion sociale. Durant les dix années de sa vie conjugale, elle mène la vie d’une épouse silencieuse, partageant son temps entre foyer et machine à tisser.
Mais en 1902, après la mort de Pierre, elle se réveille, prend la parole et commence une autre vie en fondant un syndicat des ouvrières en soierie qui tente de s’opposer à la diminution des salaires consécutive à la mécanisation du tissage. Elle se rend à Reims au 6è congrès de l’industrie textile et participe à de nombreuses grèves dont celle de Voiron en 1906 durant laquelle elle rencontre Charles Auda, syndicaliste d’origine italienne qui la guide : une présence lumineuse. Durant cet événement, les ouvriers font irruption dans l’espace médiatique grâce à l’utilisation de reportages photographiques. Lucie est alors à l’apogée de son engagement. Mais voyant que la grève se solde par un échec, elle se tire trois balles de revolver dans la mâchoire : suicide masculin puisque d’habitude les femmes ont recours à la noyade ou à la pendaison dans les milieux ruraux. Défigurée et en proie à la chute de son idéal militant, elle disparaîtra de la scène d’un mouvement lui-même atteint de mélancolie.
En un temps où l’on voit s’éteindre la classe ouvrière, on ne peut qu’être sensible à ce superbe livre qui s’inspire autant de Michelet que de Hugo pour rappeler combien les acteurs de la Révolution devraient savoir investir le passé dès lors qu’ils sont privés d’avenir. Telle est la leçon de cette Mélancolie ouvrière qui est aussi un hommage à Vizille dont le château est devenu le plus grand musée de l’histoire de la Révolution française.
Elisabeth Roudinesco, Le Monde du 16 novembre 2012
ooooOoooo
Bernard BAAS
Y a-t-il des psychanalystes sans-culottes ?
(Ed Eres)
Préface de Alain VANIER
Entre philosophie et psychanalyse, nulle correspondance, si l’on entend par là l’accord harmonieux de leurs discours. « Antipathie des discours », précisait Lacan. En revanche, au sens épistolaire du mot, les correspondances entre elles n’ont pasmanqué, qui sont autant d’interpellations réciproques.
Car les psychanalystes ne peuvent ignorer ce que l’histoire de leur théorie doit à la conceptualité philosophique et même à l’expérience philosophique de la pensée. Réciproquement, les philosophes ne sauraient conjurer l’ébranlement que la psychanalyse
a fait subir aux illusions métaphysiques et qui les appelle à la « reprise » – qui est bien plus qu’une simple réforme – de leur questionnement et de leur discours. Psychanalystes et philosophes s’obligent ainsi à se répondre. entretenir cette correspondance fait leur commune responsabilité. Car ni les uns ni les autres ne peuvent se tenir pour quitte du devoir de questionner l’abîme qui fait le fond sans fond de l’existant-parlant.
Énoncées par un philosophe, les « adresses » qu’on lira ici participent de et à cette correspondance. sur les terrains éthique, politique, esthétique, sur des concepts aussi essentiels que ceux de pulsion, d’angoisse, de semblant, sur les questions de l’université, de la langue, de l’exclusion sociale, elles sont aussi bien des manières
Nous avons le plaisir de vous convier à la journée découverte de notre école de formation de psychopraticien, conduite par Pascal Aubrit et Henry Kisiel, qui aura lieu :
L’objectif de cette journée consiste à découvrir et à expérimenter le programme de l’école, les formations que nous dispensons et notre méthodologie reliée à la psychothérapie relationnelle. Elle se déroulera dans une alternance de séquences expérientielles et de temps d’élaboration. Une présentation du cursus de formation au CIFPR sera suivie par un temps de questions-réponses.
Lieu : Centre de Psychologie Biodynamique du Père Lachaise
Salle ALIZE
59 boulevard de Ménilmontant, 75011 Paris
Code immeuble : 19 B 60
Code BLOC 1 : 1519