Voici le lien qui donne désormais accès au REGARD QUI BAT :
http://psychanalyseactuelle.free.fr/index_fichiers/Page834.html
Samedi 3 octobre 18h 30
à propos de « Retour sur la question juive »
(Albin Michel)
Auditorium du journal Le Monde, 80 boulevard Auguste Blanqui, 75013 Paris
Siège social : 12 bd. Arago – 75013 Paris
Tél. 01 43 31 46 22 Fax 01 45 48 83 53
sarmient@msh-paris.fr http://crpeparis.free.fr
Isabelle FLOC’H
Psychanalyste, peintre, Isabelle Floc’h tiendra un séminaire sur Le féminin et l’écriture, ou le roman comme Nom du Père. Autour de la vie et du parcours intellectuel de Virginia Woolf.
Philippe JULIEN
Psychanalyste, écrivain, ancien membre de l’École freudienne de Paris, Philippe Julien fera deux conférences à partir desquelles nous entendrons ses positions par rapport à certains points concernant les homosexualités aujourd’hui.
Le séminaire aura lieu les mercredi 2 décembre 2009 et 6 janvier 2010 à la Maison des Sciences de l’Homme, Salle 214, à 20h30, 54 bd. Raspail, 75006 Paris, M° Sèvres Babylone.
Maison de l’Amérique latine, Auditorium, 217 bd. St. Germain, Paris 75007
Entrée libre
Mardi 6 octobre à 21h
PAUL-LAURENT ASSOUN
« Dictionnaire thématique, historique et critique des oeuvres psychanalytiques » (PUF)
Il s’agit du premier dictionnaire qui soumet l’ensemble des oeuvres psychanalytiques (et pas seulement les notions) à un examen tant du point de vue du contenu que de la forme et de l’essentiel du corpus de Freud et des post-freudiens
Mardi 3 novembre à 21h
ANNE JURANVILLE
» La mélancolie et ses destins » (PUF)
Mal-être, spleen, tristesse, les noms qui véhiculent l’idée de souffrance morale se déclinent à l’infini. Hier réservé à une «élite» intellectuelle, le sentiment mélancolique est un trouble auquel on reconnaît aujourd’hui une ampleur tangible traversant l’ensemble de nos sociétés…
Avec la participation d’Isabelle FLOC’H.
Mardi 8 décembre à 21 h.
SILVIA LIPPI
« Transgressions – Bataille, Lacan » (éd. Erès, coll. Point Hors Ligne, 2008)
Silvia Lippi analyse dans son livre le concept de « transgression », notion souvent oubliée, stigmatisée, ou que la doxa psychanalytique attribue de façon figée à une structure en particulier, la perversion.
Avec l’intervention de Paul-Laurent ASSOUN
Journées d’études. 21 et 22 novembre 2009
Maison des Cultures du Monde, 101 boulevard Raspail, 75006 Paris
L’INSATISFACTION
« …en attendant toujours quelque chose qui ne venait jamais »
Freud, « Résultats, idées, problèmes », le 3 août 1938
Curieuse aventure que celle de la cure psychanalytique ancrée, pour une part, dans la modernité et, pour une autre part dans l’intemporalité de l’inconscient promue par Sigmund Freud.
Le thème de l’insatisfaction, que les journées d’automne 2009 d’Espace analytique mettent à l’honneur, se prête à illustrer ce paradoxe. L’insatisfaction, en effet, paraît aujourd’hui s’inscrire dans la pluralité des mouvements que déploie le patient comme tout consommateur
s’estimerait en droit de le faire ! Mais comment, en psychanalyse, s’en tenir à cette cause apparente qu’en-courage le collectif ?
Nul n’ignore que l’insatisfaction fait partie du ressort intime des processus inconscients. Ceux-ci, au nom de l’hégémonie du principe de plaisir, tendent généralement à la réduction des tensions quand la compulsion de répétition ne les engage pas dans la voie du déplaisir renouvelé. Voici un second paradoxe dont peuvent s eulement rendre compte le décalage et l’écart entre la satisfaction attendue et la satisfaction obtenue. Il revient aux kleiniens et post-kleiniens d’avoir proposé la « réaction thérapeutique négative » comme un outil de travail dans l’analyse. Lacan, quant à lui, a fait de la négativité un opérateur de la structuration psychique.
Quelles seraient donc les conduites à tenir au regard de l’éthique devant l’insatisfaction : celle des patients, celle du psychanalyste ?
Quelles sont les ruses ou les détours dont use l’incons-cient pour parvenir au plaisir y compris par l’art, la science, le spectacle, le rêve, la vie du corps … ?
Tel est bien l’intérêt de la psychanalyse.
Comité d’organisation : Danièle BRUN, Patrick LANDMAN, Sabine PARMENTIER,
Eduardo PRADO DE OLIVEIRA, Dominique TOURRES-GOBERT
Renseignements : Espace analytique Centre Octave et Maud Mannoni
12 rue de Bourgogne 75007 Paris
Tél. : 01 47 05 23 09 Fax : 01 47 05 23 26
espace.analytique@wanadoo.fr www.espace-analytique.org
http://www.aihp-iahp.org/
contact@aihp-iahp.org
JOURNEE AIHP
Samedi 26 septembre 2009
La passion de transfert dans la supervision
Responsables : Jacques Sédat et Sophie de Mijolla-Mellor
Argument : A partir du livre d’Elisabeth Geblesco, Un amour de transfert – Journal de mon contrôle avec Lacan 1974-1981 (EPEL, 2008), établi et présenté par Branko Aleksic, on réunira échanges et autres témoignages sur cette expérience et ce dont elle rend compte dans l’histoire de la psychanalyse.
Conférenciers et intervenants : Branko Aleksic, Elisabeth Geblesco Paul-Laurent Assoun, Christian Simatos, Jacques Sédat
Jean Allouch, Sophie de Mijolla-Mellor Nicolas Gougoulis, Danièle Lévy, Jean-Claude Vives, Andrée Lehman
Lieu : Hôtel MEDITEL 28 boulevard Pasteur 75015 Paris
Inscription sur place possible
Samedi 17 octobre 2009
Histoire de la psychanalyse au Maghreb et au Moyen-Orient
Responsables : Sophie de Mijolla-Mellor et Saïd Bellakdhar
Argument : A partir du livre de Jalil Bennani, Psychanalyse en terre d’Islam (Erès, réédité en 2008), qui introduit l’histoire de la psychanalyse au Maroc, on ouvrira plus largement le propos sur la notion de « Terre d’islam », en faisant appel à des conférenciers qui parleront de lieux et d’expériences diverses, récentes ou plus anciennes.
Conférenciers et intervenants : Fethi Benslama, Jalil Bennani, Patrick Delaroche, Hager Karray, Saïd Bellakdhar, Alice Cherki, Sophie de Mijolla-Mellor, Raja Benslama, Mouzayan Osseiran, Rafah Nached, Tevfika Ikiz, Mounir Chamoun,
Lieu : Hôtel MEDITEL 28 boulevard Pasteur 75015 Paris
tiene el agrado de invitarle a la conferencia
FREUD-FERENCZI
Historia de una relación apasionada
De Pedro BOSCHAN
Gilda Sabsay Foks
PRESIDENTA
el jueves 24 de septiembre a las 20.30 hs. en el Museo Roca Vicente López 2220 – Capital Federal
Ce texte vient de Grande-Bretagne
En attendant, vous trouverez d’autres d’informations sur le site du SNPPSY :
http://www.snppsy.org/Psychofolies-en-Grande-Bretagne
Dear Colleague,
The Health Professions Council have now published their Draft Standards of Proficiency for Psychotherapy and Counselling
(cf. http://www.hpc-uk.org/aboutus/consu… = http://tinyurl.com/mqpjjg)
Although they have been working on the proposed regulation of the talking therapies for the last three years, the Standards will surprise many therapists and counsellors. They apply more to medical processes than to therapies, and will be unrecognisable to many practitioners. Indeed, they seem to apply more to a surgical team preparing a patient for an operation than to the open-ended relationship-based work of a talking therapy. The Standards dictate that practitioners should :
– know how to operate equipment and minimise the risk of infection.
– know how to select appropriate hazard control and risk management, reduction or elimination techniques.
– have a knowledge of health, disease, disorder and dysfunction.
– be able to evaluate and implement intervention plans using recognised outcome measures.
– know how to use protective equipment.
– know how to formulate and deliver plans and strategies for meeting health and social care needs.
– understand the principles of quality control and quality assurance and conduct audits correspondingly.
– maintain an effective audit trail, participate in audit procedures and work towards continued improvement.
– be able to formulate specific and appropriate management plans including the setting of timescales.
– demonstrate a logical and systematic approach to problem solving and be able to initiate problem solving techniques.
– observe and record client’s responses.
– be able to demonstrate effective and appropriate skills in communicating information, advice and instruction.
– understand the need to engage service users and carers in planning and evaluating the diagnostics, treatment and interventions to meet their needs and goals.
– understand the importance of maintaining their own health.
– know how to meet the needs of the client.
A detailed critique of the Standards is attached to this email, together with a response to the HPC Professional Liaison Group’s Report on the proposed regulation of psychotherapy and counselling. Accepting the HPC Standards threatens the talking therapies with the same fate that has met other professions : practice simply becomes a technique of risk management, with the prime concern less the work undertaken with the client than the avoidance of litigation or complaint. Complaints, indeed, would be much more likely given the definition given by HPC of a ’service user’ : this no longer simply refers to the client, but to « anyone who is affected by the services of a registrant », including a client’s relatives or spouse, thus encouraging third party complaints.
Therapists, on the HPC model, would be obliged to act in exactly the ways they may be encouraging their clients to escape from : submission to rather than questioning of internalised authority, and a conformity to socially-agreed expectations, rather then the fostering of creativity and uniqueness that therapies have traditionally aimed at. Whereas the system of values that the talking therapies have always offered was freed from the moral judgements of social authorities, it is now made to conform to exactly these moral judgements. It will no longer be psychotherapy as we know it.
All trainings in the field will, according to HPC, be obliged to meet the Standards of Proficiency, and the hearing of complaints and fitness to practice cases will use the Standards as a benchmark. Aside from the obvious problem of medicalising the talking therapies, the therapists of the future, in such a climate, may feel they are perpetually under a judgmental gaze, the private space of the therapy becoming the stage for an internalised judge or examiner. The consequences of this on therapeutic practice cannot be underestimated, and there is an irony here that many traditional descriptions of psychotherapy define it as the effort to find freedom from the internalised observer-judge that may be at the root of the client’s unhappiness.
While we unreservedly support codes of ethics and practice that ensure the practitioner’s accountability, we do not believe that HPC’s approach is suited to our field and so urge you, should HPC regulation take place, to adopt with us a position of principled non-compliance. If enough therapists and counsellors do not register with HPC, Government will realise the enormous mistake it is making, and our field may not face such a grim future.
– Arbours Association
-Association for Group and Individual Psychotherapy
-Association of Independent Psychotherapists
– Centre for Freudian Analysis and Research
– The College of Psychoanalysts-UK
– The Guild of Psychotherapists Philadelphia Association
– The Site for Contemporary Psychoanalysis