La psychothérapie relationnelle propose une clinique du souci, au sens de soin-souci de soi, où c’est le psychothérapisant, dans le cadre et à partir du ressort fondamental de la Relation (1) entre le professionnel et celui qui vient parler à « quelqu’un », une personne, entre deux sujets se rencontrant, où c’est le psychothérapisant en Relation qui effectue le travail sur lui-même de prendre soin de soi. Il s’agit dans ce cas d’une séance.
Ceci par opposition avec le soin-traitement que proposent médecine et psychologie comportementaliste, où un sujet, le praticien, traite l’objet maladie, quand ça n’est pas le malade directement, en qualité d’objet. Nous nous trouvons alors dans le cadre d’une consultation.
Le soin-souci de soi intègre la dimension philosophique issue de Heidegger (c’est le Sorgue d’Être et temps), Buber, Levinas, mais demeure résolument psychothérapique, par opposition aux tentatives de philosophie clinique.
Ainsi la psychothérapie relationnelle pourrait-elle légitimement s’intituler psychosouciologie, en cas de … souci institutionnel.
Mises à jour 9 février 2010,
Nous avons le plaisir de vous convier à la journée découverte de notre école de formation de psychopraticien, conduite par Pascal Aubrit et Henry Kisiel, qui aura lieu :
L’objectif de cette journée consiste à découvrir et à expérimenter le programme de l’école, les formations que nous dispensons et notre méthodologie reliée à la psychothérapie relationnelle. Elle se déroulera dans une alternance de séquences expérientielles et de temps d’élaboration. Une présentation du cursus de formation au CIFPR sera suivie par un temps de questions-réponses.
Lieu : Centre de Psychologie Biodynamique du Père Lachaise
Salle ALIZE
59 boulevard de Ménilmontant, 75011 Paris
Code immeuble : 19 B 60
Code BLOC 1 : 1519