par Philippe Grauer
Claire Lesegretain dans le supplément hebdomadaire Sciences & éthique de La Croix du 20 novembre 2012, agrémenté d’une contribution de Bernard Accoyer lui-même(1), se meut tendancieusement dans l’univers de référence du seul nouveau titre de psychothérapeute, dont elle décline les mérites, dont les tenants sont répertoriés Adeli. Cet univers restreint d’un seul titre avoisine celui d’un dispositif alternatif, pratiquement occulté dans ce cahier de présentation de quatre professions psys regroupées sous deux titres, l’un paramédical l’autre non médical(2), configuration indispensable pourtant à qui désire s’orienter dans le maquis des désignations et références des nombreuses entités locataires du Carré psy.
En fait il s’agit de protéger et diffuser l’unique univers de référence du titre paramédical de psychothérapeute, essentiellement de type cognitiviste au dire de l’autrice de l’article, les ténèbres extérieures étant décrites comme impénétrables. Il suffit pourtant d’une simple lampe de poche pour s’y retrouver, en regardant le panneau indicateur psychothérapie relationnelle®. Mais voilà, nos journalistes de La Croix, le panneau, ils sont tombés dedans, alors ils l’ont pas vu. Pourtant le président de la FF2P a bien dû leur en toucher un mot. La ligne Accoyer : le titre de psychothérapeute, rempart contre les charlatans(3) inspire le numéro tout entier. Péché par omission ? L’oubli de l’autre est un péché contre l’humanité.
La terminologie approximative qui découle de ce mode d’appréhension falsifie la réalité, théorique et de terrain. Le travail critique que nous avons effectué vous invite à lire le texte de la journaliste en gardant en mémoire ce dont nous commençons par vous avertir ici. Nous espérons que vous y survivrez et que notre analyse vous permettra de cheminer sans vous prendre les pieds dans le fil d’Ariane que nous vous proposons dans le labyrinthe psy dont on vous fournit un plan affichant au centre le Minotaure médico psychologique libellé titre de psychothérapeute, avec à la sortie le titre professionnel alternatif de psychopraticien relationnel®, dispensateur d’un soin non médical, de type humaniste et intersubjectiviste.
Vers quel psy se tourner ? titre en conclusion fallacieusement notre journaliste. Vers l’une des quatre grandes familles psys comme nous le décrivons et démontrons, vers l’un des deux grands champs épistémologiques, le médical et paramédical, prescriptif, objectiviste et scientiste d’une part, celui de la dynamique de subjectivation regroupant la psychanalyse et la psychothérapie relationnelle d’autre part(4). Des deux côtés des titres garantis, l’un par l’État, l’autre, alternatif historique, par la profession. Vers quel journaliste se tourner devrons-nous ajouter, pour disposer de repères non naufrageurs ? C’est muni d’une carte complète et non trafiquée que le public s’orientera au mieux de ses besoins sur le territoire de la psycho diversité, sans perdre ni le nord ni sa sécurité.
a)
si, comme le dit la loi :
– psychiatres + psychanalystes + psychologues (professions (5)) = psychothérapeutes (titre d’État)(6)
on ne peut additionner aux trois catégories énumérées le titre qui les inclut : psychothérapeutes, soit à nouveau psychiatres, psychanalystes, psychologues, la même chose dite autrement (la liste des constituants disciplinaires et professionnels du titre à quoi on ajoute le même titre d’exercice qui les résume et comprend) pour livrer la ligne hétéroclite fautive suivante :
– [psychiatres, psychanalystes, psychologues, psychothérapeutes](7)
En effet cette structure syntaxique
[psychiatres, psychanalystes, psychologues(8), psychothérapeutes] n’énumère pas des objets de même type et donc est mal formée. L’énumération correcte serait :
– psychiatres, psychologues, psychanalystes, psychopraticiens : série de métiers.
et si l’on veut passer aux titres on a :
– psychothérapeutes vs. psychopraticiens relationnels®
Notons que c’est dans l’ensemble psychopraticien qu’on trouvera les psychopraticiens relationnels (discipline) dont certains sont pourvus du titre psychopraticien relationnel®.
Cette dernière dénomination n’est pas encore parvenue à La Croix, les voies du Seigneur étant non seulement impénétrables mais parfois lentes. On est patients, on attend que la réalité sur le terrain et la vérité se manifestent. D’abord se tient le discours des psychothérapeutes seuls au monde, ensuite le monde se rend compte que les psychopraticiens existent, et que les psychopraticiens relationnels ont construit un titre professionnel paradigmatique(9).
b)
– le terme psychopraticien s’emploie à présent pour désigner les ex psychothérapeutes, population aux contours mal délimités en effet,
– psychopraticiens relationnels désigne le
, obtenu par une sélection
au sein de l’ensemble psychopraticiens. Ce sous-ensemble clé, qui met en place une profession et une discipline clairement structurées, garantie par les quatre institutions historiques responsables reliées dans le cadre du GLPR – Groupe de liaison de la
Déjà que les psychanalystes (discipline) par ailleurs à 95%(10) psychiatres ou psychologues, se réfèrent donc à une profession annexe, et à une autre discipline (par exemple la psychologie clinique, procédant de la psychologie) (11)), la terminologie et la classification peinent à rendre compte de cette double articulation dans le cumul. On ne saurait tout à fait en vouloir à l’autrice, l’univers du Carré psy, auquel nous ne saurions trop lui recommander de se référer, est véritablement complexe, tissé de professions, disciplines, méthodes, entremêlées. Toutefois il reste de sa responsabilité d’éclairer l’opinion en enquêtant dans toutes les directions.
On déplorera qu’elle reste prisonnière de sa formulation défectueuse. On éprouve quelque difficulté dit-elle à « se retrouver dans le paysage complexe du soin psychique, entre psychiatres, psychologues, psychanalystes, psychothérapeutes, psychopraticiens et autres gestalt-thérapeutes ou somatothérapeutes. » C’est qu’à partir de sa première bévue consistant à additionner
– l’ensemble psychiatres, psychologues, psychanalystes avec lui-même : psycho-thérapeutes,
– en ajouter une seconde consistant à confondre
a) les représentants d’une profession ouverte, au champ disciplinaire mal défini, les psychopraticiens,
b) avec des représentants de méthodes (en sautant la marche de la discipline), spécialités ou écoles quant elle écrit : « psychopraticiens et autres gestalt-thérapie, somatothérapie… » ;
– le comble est atteint quand on sait que « gestalt-thérapie, somatothérapie.. » est à son tour piégé :
a) la gestalt-thérapie relève de la SFG, Société française de gestalt-thérapie, membre de l’AFFOP, Association fédérative française des organismes de psychothérapie relationnelle et psychanalyse, qui soutient le titre alternatif de psychopraticien relationnel® et se revendique de la discipline nommée psychothérapie relationnelle. Ainsi la gestalt-thérapie faisant partie de la discipline psychothérapie relationnelle, ses membres titulaires s’affichent psychopraticiens relationnels®, spécialité gestalt-thérapie. C’est complexe mais c’est ainsi.
b) ce qui n’a rien de commun sinon peut-être l’appellation de psychopraticien (nom de métier), avec les somatothérapeutes (nom de méthode), renvoyant à une fédération « méthodiste » autoréférée. Là pas de titre professionnel garanti GLPR.
À ce petit jeu on finit par lister des éléments disparates, ne relevant pas du même ordre, non additionnables. L’autrice a raison, là on est définitivement égaré – un peu par ses soins tout de même.
(titre d’État). En français facile : les trois premiers mots en italique désignent des praticiens habilités à porter le titre de psychothérapeute.
-*
(nom de métier) = « gestalt-thérapeute, somatothérapeute… » (noms de méthode). Sauf que le jeu des emboîtements déboîtements révèle que le gestalt-thérapeute (méthode) relève de la psychothérapie relationnelle – discipline – et porte le titre de psychopraticien relationnel® (système Affop), et non le somatothérapeute (méthode), seulement psychopraticien (nom de métier. Sauf celui qui peut revendiquer le titre de psychothérapeute).
-*
(FF2P),
(Psy’G), les trois titres professionnels garantis par le GLPR, ignorés de Claire Lesegretain.
Faut-il enfin rappeler que le cadre de psychopraticien relationnel répond aux Cinq critères, dont bien entendu une supervision régulière ?
Délicat de prendre la responsabilité de décrire un champ professionnel en dispensant des conseils orienteurs si on s’y perd un peu, ou si on vous balade. Ce qui est compréhensible si l’on est de parti pris mais rien à faire les lecteurs de La Croix ont droit à une information exacte.
La terminologie approximative de ce texte rend
« Ce titre recouvre des pratiques très différentes » exact et cependant insuffisamment, pour cause de formulation approximative. Le titre de psychothérapeute donne le droit d’exercer (en particulier mais pas seulement à l’hôpital). L’exercice professionnel s’adosse à un ou plusieurs champs disciplinaires. Dans ce cadre les « pratiques(13)) très différentes » renvoient à des méthodes (éléments constitutifs de disciplines).
Les psychopraticiens relationnels que nous sommes nous efforçons de distinguer clairement tout cela. Enjeu de taille pour une profession et discipline spécialisée dans la question de la détermination de l’identité obligée de fournir un référencement net à propos de sa propre identification. Un signe distinctif particulier : nos psychopraticiens relationnels ont tous effectué une long parcours psychothérapique ou psychanalytique eux-mêmes, ce faisant ils répondent au Cinq critères, ce que l’université ne requiert nullement de ses psychothérapeutes.
Dernière inexactitude, « les psychothérapeutes professionnels qui ne sont ni médecin, ni psychanalyste, ni psychologue » relèvent à présent d’une catégorie inexistante depuis 2010(14).
Enfin le cadre disciplinaire de la psychothérapie relationnelle en fait une profession de santé non médicale, tournant résolument le dos à la médicalisation de l’existence. Comme on dit sans doute souvent à La Croix l’homme ne vit pas seulement de pain, ni de médicaments. Mais de la parole (de Dieu, autre problème, hors du champ psy). Ceci en contradiction avec la revendication conclusive de l’article, parfaitement licite et compréhensible chez un tenant de la médicalisation de l’existence, mais ne s’appliquant pas à notre tout aussi parfaitement licite et antagoniste champ disciplinaire. C’est que nous nous attachons vigoureusement à ne pas confondre malaise et maladie. Cela n’empêche pas le travail en réseau bien au contraire, avec les psychiatres.
À présent entamez la lecture de l’article qui suit sans vous faire embarquer dans une description, une orientation et un système de repères incorrects. La terre n’est plus plate et le carré psy tourne à bon régime. Le titre de psychothérapeute n’a pas fait disparaître le paradigme dans lequel il prend place. La psychothérapie relationnelle n’a pas disparu même si Madame Lesegretain partie à sa recherche l’a reperdue en rentrant à La Croix.
– Roland Gori, Personne n’est mieux protégé qu’hier des charlatans, précédé de « Peut-on continuer de nous ignorer en restant honnête ? » par Philippe Grauer
– Philippe Grauer, Psychothérapie : « cette loi ne change pas grand-chose » ?
Actualité > Sciences
La Croix, 19 novembre 2012
Plus de deux ans après l’entrée en application du décret visant à réglementer l’usage du titre de «psychothérapeute», les polémiques entre courants psychanalytique ou comportementaliste n’ont pas cessé.
«Au printemps dernier, j’ai cherché un psy pour m’aider face à diverses difficultés professionnelles et personnelles; je ne savais trop vers quel spécialiste me diriger, mais je savais qu’un décret récent avait réglementé cette profession et cela m’a rassurée». Christine qui parle aujourd’hui avec satisfaction de son thérapeute avait du mal, comme tant d’autres, à se retrouver dans le paysage complexe du soin psychique, entre psychiatres, psychologues, psychanalystes, psychothérapeutes, psychopraticiens et autres gestalt-thérapeutes ou somatothérapeutes… Elle a donc demandé à consulter la liste des psychothérapeutes agréés auprès de la Délégation territoriale de l’agence régionale de santé (DTARS) dont elle dépend, afin de vérifier que le nom qui lui avait été recommandé par ailleurs y figurait bien. «Je voulais m’assurer que le psy que j’allais choisir avait la compétence et la déontologie nécessaires pour exercer cette profession» , poursuit la jeune femme.
Depuis le décret du 9 août 2009, puis son décret d’application du 20 mai 2010, modifié par le décret du 7 mai 2012, chaque département doit mettre en effet à disposition la liste Adeli (Automatisation des listes) des psychothérapeutes, afin de permettre à tout un chacun de se renseigner et de choisir un thérapeute en connaissance de cause.
Désormais, l’usage du titre de psychothérapeute est réservé à trois catégories de praticiens: les psychiatres, c’est-à-dire des médecins ayant fait trois ans de spécialisation en psychiatrie ; les psychologues cliniciens, ayant un master 2 de psychologie clinique avec stages professionnalisants et étant supervisés ; les psychanalystes, c’est-à-dire des personnes ayant suivi une psychanalyse et étant supervisées dans le cadre de leur association de psychanalystes.
Ces trois catégories peuvent s’inscrire automatiquement sur le répertoire Adeli des psychothérapeutes, auprès de leur DTARS. Les autres doivent valider un nombre d’heures obligatoires de formation et passer devant une commission, siégeant dans une agence régionale de santé, qui valide leurs diplômes et leurs expériences.
Le titre de psychothérapeute est donc aujourd’hui commun à divers professionnels : psychiatres et psychologues, mais aussi – dès lors qu’ils ont suivi les obligations de formation –, certains infirmiers psychiatriques, psychanalystes et médecins(1). De même, ce titre recouvre des pratiques très différentes dans leurs approches et leurs méthodes : thérapie cognitive, EMDR, thérapie familiale ou comportementale, psychodrame, cure psychanalytique, relaxation, art-thérapie…(2) Elles ont toutes pour objectif de traiter et d’apaiser des souffrances psychologiques et psychosomatiques.
En fait, peu de conseils généraux semblent avoir les moyens pratiques de tenir cette liste à jour. «Nous n’avons pas le temps de vérifier si les psychothérapeutes qui demandent à s’inscrire sont bien autorisés à exercer», s’excuse-t-on, par exemple, à la DTARS de la Sarthe, avant d’envoyer par courriel une liste de dix psychothérapeutes libéraux agréés.
Pourtant l’idée d’encadrer la profession de psychothérapeute est une bonne chose et beaucoup, parmi les professionnels concernés, s’en réjouissent. «Jusqu’il y a peu, n’importe qui pouvait poser sa plaque de psychothérapeute et, du coup, cela laissait planer des soupçons sur l’ensemble des psys», estime cette psychologue clinicienne qui a ouvert son cabinet de psychothérapeute en 2001, en Seine-et-Marne. C’est bien dans ce but que le député (UMP) de Haute-Savoie Bernard Accoyer, ORL de formation, avait proposé de réglementer la profession.
Aujourd’hui cependant, bon nombre de praticiens regrettent que ce décret ne change pas grand-chose. «Ce qui est protégé, c’est l’usage du titre mais pas l’exercice de la psychothérapie», affirme ainsi le médecin et psychothérapeute parisien Michel Meignant, président fondateur de la Fédération française de psychothérapie (FF2P). Et de souligner le côté «paradoxal» d’un tel décret qui «autorise l’usage d’un titre à ceux qui ne l’utilisent pas et l’interdit à ceux qui pourraient l’utiliser» .
(3)
En effet, les psychiatres, les psychologues et les psychanalystes ne se déclarent généralement pas sous le titre de psychothérapeute, alors que les psychothérapeutes professionnels qui ne sont ni médecin, ni psychanalyste, ni psychologue, ne peuvent, eux, s’en prévaloir, même quand ils ont acquis une longue expérience.
Quant à l’utilité de ce décret pour protéger les patients d’éventuelles pratiques irrégulières, beaucoup en doutent également dans la mesure où nulle autorité n’exerce un contrôle déontologique. «Cela serait différent s’il existait un ordre des psychothérapeutes» , poursuit Michel Meignant, qui fut l’un de ceux qui ont introduit l’EMDR (Eye movement desensitization and retroprocessing) en France, cette thérapie comportementale et cognitive (TCC) recommandée depuis 2007 par la Haute Autorité de la santé pour le traitement des stress post-traumatiques.
En effet, à la différence des médecins qui ne peuvent exercer que s’ils sont inscrits à l’Ordre des médecins (organisme professionnel, administratif et juridictionnel de défense et de régulation de la profession médicale créé en 1940 sous le régime de Vichy), les psychothérapeutes, tout comme les psychologues, n’ont pas souhaité, jusqu’à présent, voir se créer une telle instance.
Certains psychothérapeutes vont même plus loin en décidant de ne pas s’inscrire sur la liste Adeli. C’est le cas du psychologue clinicien et psychothérapeute Didier Pleux, directeur de l’Institut français de thérapie cognitive (IFTC), qui considère le décret modifié en 2012 comme une «tartufferie» : «en ce qui concerne les psychanalystes, la reconnaissance de leur titre de psychothérapeute ne repose pas sur un diplôme de psychiatrie ou de psychologie clinique et ne vérifie pas qu’ils sont capables de poser un diagnostic», s’exclame-t-il, agacé.
Selon lui, un psychothérapeute doit être un «médecin du psychisme» , ayant la capacité et la liberté d’utiliser diverses méthodes thérapeutiques, adaptées au patient.
Titre de psychothérapeute : une mécanique institutionnelle complexe
VERS QUEL «PSY» SE TOURNER ?
(note de la Rédaction)
Par « psy », on désigne une galaxie composée de quatre grandes familles :
Les psychiatres : médecins ayant fait trois ans de spécialisation en psychiatrie et dont le titre atteste de leur formation à reconnaître les maladies mentales et leurs traitements, notamment médicamenteux. Principales indications : psychoses, tendances suicidaires, troubles de la personnalité…
Les psychologues : formés (bac + 5) à l’université à l’écoute de la souffrance psychique. Principales indications : difficultés relationnelles, troubles de comportement…
Les psychanalystes : ayant été eux-mêmes psychanalysés pendant des années, leur approche, reposant sur les notions d’inconscient et de transfert, consiste à favoriser une prise de conscience d’éléments refoulés. Principales indications : dépressions, souffrances durables trouvant pour une part ses origines dans l’histoire familiale…
Les psychothérapeutes
: on recense plus de 200 formes de psychothérapie(4). Parmi les principaux courants,
les thérapies comportementales et cognitivistes (TCC) mettent le patient en présence de ses craintes et convictions, afin d’affronter l’anxiété qui en résulte. Principales indications : phobies, difficultés relationnelles, troubles obsessionnels compulsifs…
psychiatres, psychologues, psychanalystes répondent (s’ils le demandent) au titre nouveau de psychothérapeute, qui les contient et ne s’ajoute pas à eux. Les
sont le véritable quatrième acteur du carré psy.
CLAIRE LESEGRETAIN
Tendancieux, il ne rend pas compte de la réalité historique et sur le terrain.
– Les termes hyperliés dans l’article, figurant à notre glossaire, en commençant par psychothérapeute.
– « Psycho repérages au Nouvel Obs, » par Lise Tiano, précédé de « Attention franchissement de ligne jaune, y voir clair dans les repères » par Philippe Grauer.
– Grands oubliés, les psychopraticiens relationnels, et leur titre alternatif éponyme délivré par l’ensemble Snppsy-Affop, aux côtés paradigmatiquement des deux autres titres professionnels délivrés par la FF2P et le PSY’G. Voir GLPR.