– PSYCHOTHÉRAPIE-1, soin par la parole selon une logique médicale, paramédicale à base de psychopathologie, ou psychologique. Historiquement issue de la psychiatrie. Par la suite influencée partiellement par la psychanalyse. Puis s’étant déprise de cette influence à l’occasion de la réorientation du DSM.
Cheminement : maladie, diagnostic, traitement, guérison ou maintien médicamenteux d’un handicap. Relève du DSM et de la médicalisation de l’existence.
– PSYCHOTHÉRAPIE-2, soin par la parole selon une logique du souci de soi, à base de réparation par un processus intersubjectif. Historiquement issue de première psychothérapie d’Hyppolite Bernheim, puis de la psychanalyse, puis de ses dissidences et développements, puis de la psychologie humaniste américaine et du Mouvement du potentiel humain.
Cheminement : malaise, établissement d’une relation, dynamique de subjectivation et changement personnel. Relève du rapport à l’existence. Éventuellement influencée par la phénoménologie et l’existentialisme. La psychothérapie relationnelle (2001) comme la psychanalyse relève de ce volet. Non exclusivement.
– PSYCHOTHÉRAPIE-0, soin par la parole, référence épistémologique, idéologique, méthodologique et éthique oblitérée. Autorise la pratique de la « confusion des langues », du broyat de concepts, de l’oubli de penser et de l’embarquement de l’interlocuteur dans mon système de présupposés jamais exposé. Engendre la référence implicite à « la psychothérapie comme allant de moi » pratiquée par des professionnels insuffisamment formés même quand diplômés de l’université. Cf. à ce sujet l’article de Philippe Grosbois Éthique et psychothérapie : principe de parité versus principe de compétence
Cheminement : malaise ou maladie, relation et progression incertaines, dépendant de la qualité de présence et d’encadrement du praticien.
16 juin 2015
– Sans spécification ce terme prête à confusion car il est indifférencié. La psychothérapie relationnelle s’est caractérisée, en 2001(1), pour marquer son territoire épistémologique, éthique et politique propre.
– Psychothérapie = 4 psys, 2 professions + 2 paraprofessions, 1 titre professionnel d’exercice d’État + 2 altertitres professionnels d’exercice émanant d’organismes fédératifs ou syndical(2) (définition reprise depuis titres).
Processus psychique opérant à partir de la conjonction d’un professionnel proposant un cadre déterminé et d’une personne entreprenant la démarche à partir de ce cadre de l’entretenir d’elle et des souffrances et conflits dont elle ne parvient pas à se dégager ou dont la résolution lui échappe. On peut parler de soin par le psychisme, sachant qu’il faut alors définir soigneusement (!) le terme soin. L’idée de psychothérapie se corrèle à celle de changement.
Certaines psychothérapies, en particulier celles relevant du champ comportementaliste et cognitiviste, cochent à néant la réponse à plusieurs des items listés précédemment. Ce qui crée des différences parfois considérables, et milite pour spécifier à chaque fois de quelle psychothérapie on est en train de parler.
On distinguera
– la psychothérapie de type objectiviste, d’orientation médicale ou psychologique, qui propose un traitement : un sujet agent expert administre des soins, fournit des directives, à un patient qui en est l’objet.
– la psychothérapie de type relationnel, subjectiviste, d’orientation psychanalytique ou phénoménologique, qui jouant sur la dynamique de la rencontre comme relation soignante en elle-même, dans l’entre deux intersubjectif, assiste par voie de dialogue l’intéressé à prendre soin et conscience de lui, mobilisant le souci de soi et l’engagement de sa responsabilité. La dimension inconsciente de l’opération étant prise en charge notamment par la considération du transfert (prise en compte d’un système relationnel inconscient).
Il n’existe pas de définition officielle ou légale de la psychothérapie. Et c’est heureux, le législateur n’a pas à définir un champ scientifique. La psychothérapie vue par un professionnel est celle qu’il pratique ou croit pratiquer. Souvent il conçoit difficilement qu’on puisse se la représenter autrement que lui. C’est l’usage de la psychothérapie comme allant de soi, comme allant de moi, voir à psychothérapie relationnelle. D’où les innombrables regroupements de psys. Cette multitude et « psychodiversité », en matière de science humaine, est souhaitable. Les tendances dogmatiques ne sont pas rares, les méfiances et les mépris courants, ainsi que les estimes réciproques entre membres de camps opposés.
Historiquement le terme apparaît dans le titre de l’ouvrage d’Hyppolite Bernheim, Hypnotisme, suggestion et psychothérapie, 1891. Il sera utilisé continument jusqu’à nos jours dans les sens les plus divers.
On peut classer les écoles de psychothérapie ou méthodes selon une dizaine de courants, plutôt que les lister par simple inventaire rhapsodique, parfois fort prévertissant.
– La psychothérapie ne constitue pas une seule discipline mais un champ disciplinaire hétérogène à épistémologies diverses (voir contradictoires) qu’on peut ramener à deux – la psychothérapie relationnelle, si. La psychothérapie dissémine plutôt que regroupe une quantité de méthodes et techniques, appareillées à des disciplines ou champs disciplinaires (médecine, psychologie, psychanalyse, psychothérapie relationnelle) d’horizons épistémologiques variés. Le psychothérapique désigne et regroupe les différents traits pertinents dont la présence conjointe de plusieurs dans le processus peut produire l’effet psychothérapique, à savoir l’apparition d’un changement autogène allant dans le sens de ses valeurs(3) chez la personne qui consulte – 9 juillet 2013.
19 août 2011 – modifié le 30 juin 2014 – PHG
Terme désignant de façon générique tout travail psychique
– de type cognitiviste comportementaliste, neuronal
– d’adaptation personnelle et sociale ou de rééducation
– processuel aboutissant à un récit de soi inédit au cours duquel le sujet ayant entrepris sa narration de soi s’atteint dans son être en qualité d’auteur de ce récit.
– de type psychodynamique, inspiré par la psychanalyse, de découverte de soi en tenant compte du transfert, de la dimension de l’inconscient et du primat de la sexualité.
– de résolution des problèmes de l’existence par la voie de la parole (écoute, accompagnement).
– de résolution par l’avènement d’un sens.
Ce terme générique ne tient pas compte de l’organisation structurale du champ conceptuel, qui répartit la psychothérapie selon la ligne de partage épistémologique de l’implication intersubjective ou de la mise en œuvre d’une stratégie d’intervention objectiviste.
Ce terme ne permet pas de discriminer l’actuel basculement de paradigme de l’univers psy, où la psychiatrie redevenue neuropsychiatrie administre la santé mentale avec des méthodes et une épistémè objectivistes et managériales.
L’usage du terme psychothérapie est libre en France. En effet, fort heureusement, la tâche de définir (puis régenter, évidemment) « la » psychothérapie – entité qui pourrait mériter l’emploi du pluriel, et pourtant cette facilité n’est pas à recommander – incombe seulement aux praticiens et chercheurs des domaines multiples répondant diversement à cette appellation. En aucun cas au législateur. Notre mouvement ou mouvance comme on voudra, autour d’un collectif de chercheurs regroupés au sein du SNPPsy et de l’ Affop, ont « décroché » de l’appellation générique, hétérogène, pour cerner et discerner le concept de psychothérapie relationnelle.
Jusqu’en 2001, ceux qui répondaient au nom de « Les psychothérapeutes » pensaient représenter eux seuls légitimement « La psychothérapie« , celle que définissaient les deux syndicats historiques, que représenta et revendiqua l’Association internationale de psychothérapie, celle de la Déclaration de Strasbourg. Le Snppsy à la suite de toute une réflexion, en vint à concevoir que chacun se prétendant le seul représentant légitime de la psychothérapie telle qu’il la concevait, il convenait de discerner en sorte que nul ne puisse prétendre à l’universalité du nom ni du concept, sinon comme terme générique complexe et contradictoire dans ses fondements épistémologiques. Cela conduisit au Carré psy et corrélativement à la définition délimitée de psychothérapie relationnelle, débouchant sur une conception politique et scientifique d’articulation de blocs disciplinaires distincts.
Cela permit d’échapper aux confusions et de distinguer entre autres
– la psychologie clinique, sorte de compromis trouble entre psychanalyse d’université et psychologie psychopathologiste (lieu d’exercice principal l’hôpital)
– la pratique des psychiatres spécialisés en psychopathologie médicale (4) n’ayant jusqu’à présent pas suivi même de cours de psychothérapie à l’université.
– la pratique des psychologues (hospitalière mais parfois aussi libérale) n’ayant pas effectué (5)une démarche personnelle quelconque ou du moins suffisante pour se connaître eux-mêmes, et ne disposant par conséquent pas de formation approfondie à la psychothérapie relationnelle au sens précis de cette expression(6).
Soin par la parole, accompagné ou non d’une dimension émotionnelle ou corporelle. La psychothérapie peut relever du soin-souci de soi (psychopraticien relationnel ou psychanalyste) ou du soin-traitement administré (médecin ou psychologue revêtu du titre réservé de psychothérapeute). Les deux types de soin se combinent parfois.
Art du psychothérapeute au sens général du terme et non uniquement du professionnel du psychisme psychologue ou médecin jouissant du privilège de ce titre en France(7). Cependant aucun professionnel à partir de 2010 ne peut s’afficher comme psychothérapeute sans en porter légalement le titre. Tous ceux qui ne le peuvent pas se nomment dorénavant psychopraticiens, terme auquel ils accolent les déterminants qui le spécifient.
Psychothérapie relationnelle : « les psychothérapeutes qui œuvrent par dans et pour la relation [6], à partir d’elle et par son ressort, dans le cadre d’une psychothérapie du lien et de la dynamique de la subjectivité, intégrant sous des formes diverses la dimension du transfert, ont choisi de se dire relationnels. Cela définit un champ disciplinaire (et nullement une nouvelle méthode), comportant de nombreuses méthodes, et même transméthodiste (on peut s’en réclamer par delà sa ou ses méthodes de référence. Dans ce cas se faire légitimer par le moyen du 5è critère)
La psychothérapie relationnelle [7] est issue du courant de la psychologie existentielle américaine des années 50, relancée sous le nom de psychologie humaniste puis de Nouvelles thérapies dans les années 70 et 80. Elle procède de la même éthique et méthodologie que la psychanalyse. Dont, sans pour autant émaner d’elle purement et simplement, elle porte souvent l’empreinte. »
Ce qui la rapproche de la psychothérapie existentielle, parfois dénommée Daseinsanalyse, au gradient relationnel puissant, puisqu’il s’agit d’une psychothérapie de la co-présence dynamique, d’inspiration philosophique clinique. De nombreux chercheurs dans le champ de la phénoménologie ont, voulant marquer la différence et spécificité de la psychothérapie posée comme alternative à la médicalistaion de l’existence, baptisé différemment leur psychothérapie de la relation : psychothérapie situationnelle (Miguel Benasayag(8)), psychomaïeutique (Frédéric Brissaud, Pour un renouveau de la psychothérapie, Mutations, Paris, L’Harmattan, 2010, 188 p.- ), etc. La question de l’éparpillement terminologique pose celle, politique, du syndicalisme psychothérapique français(9). Pouvons-nous concevoir par accord une terminologie commune ? Vastes débat et enjeux.
a) psychothérapeute 1 – terme générique, sens large. Professionnel pratiquant la psychothérapie – discipline vaste au champ hétérogène. Lorsque nous traduisons des textes étrangers ignorant notre spécificité nationale, nous sommes conduits à parler de psychothérapeute au sens générique, psychotherapist en globish. Lorsque nous traduisons des textes étrangers ignorant notre exception française nous sommes conduits à parler de psychothérapeute au sens générique, international. La langue aussi est têtue. Tout le monde continue de dire et penser psychothérapeute là où nous disons et imprimons psychopraticien. Dans la décennie qui vient nous verrons bien comment se fixera l’usage. La loi française de réglementation introduit une ambiguïté terminologique en ayant fait d’un nom de profession un titre d’exercice réservé(10)
b) psychothérapeute 2 – psychothérapeute par titre d’exercice : en hexagonal, psychologue ou médecin (le psychiatre est médecin) ayant revendiqué son inscription à ce titre (!) sur une liste régionale.
c) psychopraticien : nom de métier ouvert à tous, « psychothérapeute 1 » (psychotherapist) exclu du (droit au) titre d’exercice réservé dorénavant aux médecins et psychologues.
d) psychopraticien relationnel : praticien en psychothérapie relationnelle la plupart du temps à titre (!) exclusif. Ce nom de discipline n’est garanti que référé à un organisme historique représentatif membre de l’Affop qui le cautionne. Psychopraticien relationnel du SNPPsy désigne un praticien qualifié professant la psychothérapie relationnelle en tant que discipline encadrée. Il s’agit d’une appellation disciplinaire autorisée garantie par le SNPPsy (disposant de la marque INPI détenue par l’Affop au bénéfice des organismes qu’elle fédère).
e) titre professionnel d’exercice de psychopraticien relationnel® : appellation protégée INPI. Désigne un praticien en psychothérapie relationnelle à titre exclusif relevant de la couverture procurée par l’Affop (dont est membre le SNPPsy père de l’appellation(11)). Il s’agit d’un titre d’exercice. Nous l’avons aussi appelé altertitre (d’exercice) pour marquer qu’il représente le pendant alternatif au titre (d’exercice) paramédical de psychothérapeute. L’une des déclinaisons de ce titre (d’exercice) professionnel privé (au sens de syndical vs. d’État) est titulaire du SNPPsy. Elle signifie psychopraticien relationnel® autorisé par le SNPPsy au titre des Cinq critères.
Une analyse épistémologique permet de subdiviser la psychothérapie en deux grandes familles.
– 1) le champ disciplinaire de la psychothérapie prescriptive issues d’un savoir construit sur le modèle des sciences de la nature par la méthode expérimentale : psychologie expérimentale, neuropsychiatrie, thérapies comportementales et cognitives, thérapie systémique (cette méthode comportant deux branches, l’une d’entre elles relationnellisable). La formation correspondante, sanctionnée par un diplôme, s’effectue par enseignements théoriques et stages. Les praticiens formés à ces psychothérapies sont les psychiatres et les psychologues cliniciens qui reçoivent leur formation théorique dans le cadre de l’Université et leur formation pratique au cours de stages. Ils utilisent des protocoles ne nécessitant pas une expérience psychothérapique personnelle.
– 2) le champ disciplinaire intersubjectif fondé sur le transfert et la relation psychanalytique et psychothérapique :
a) la psychanalyse dans sa diversité (freudienne, kleinienne, kohutienne, bionnienne, lacanienne, intégrative, etc.), et ses déclinaisons psychothérapiques (à base de transfert et d’écoute de l’inconscient) selon les écoles.
b) la psychothérapie relationnelle.
Issue des théories de la psychologie humaniste américaine, sur la base du constat de l’inadaptation de l’application à la psyché humaine de la méthode expérimentale propre aux sciences de la nature, la psychothérapie relationnelle a construit son paradigme sur le principe implicatif de la méthode expérientielle. Elle voisine la psychanalyse en l’infléchissant selon des méthodes actives et à médiation, adossée au principe de la phénoménologie. Développée dans les années 1970 sous le nom de Nouvelles thérapies – psychodrame, gestalt-thérapie, analyse transactionnelle, thérapies psychocorporelles (analyse bioénergétique, néo-reichienne, etc.), psychothérapie de groupe, etc. –, différenciée de la psychanalyse dont elle est cependant pour une grande part issue, elles en a conservé les fondements, le cadre et les modalités de formation, et en est demeurée épistémologiquement parente.
Ainsi la psychanalyse, discipline de l’inconscient, dans sa diversité, et – post freudienne – la psychothérapie relationnelle, discipline de la relation, peuvent, conceptuellement regroupées, se voir considérées comme ressortissant d’un courant épistémologique unique, œuvrant à la dynamique de subjectivation, paradigmatique des méthodes de type prescriptif objectiviste et cognitiviste.
Ces deux disciplines du psychisme axées sur la subjectivité et l’intersubjectivité, privilégient en effet essentiellement la relation thérapeute-patient comme ressort du changement. Ce qui impose à leurs praticiens un type de formation spécifique consistant à effectuer un travail psychothérapique ou psychanalytique personnel préalablement ou concurremment à l’acquisition des connaissances théoriques et méthodologiques propres, et à l’engagement dans une formation pratique.
De la sorte, les psychopraticiens relationnels (ex psychothérapeutes relationnels) tout comme les psychanalystes, reçoivent leur formation théorique parfois pour une part dans le cadre universitaire et leur formation spécifique, théorique et pratique, dans le cadre d’organismes ou sociétés professionnels(12). Ceci du seul fait qu’elles passent par une implication personnelle et expérientielle que le cadre universitaire, centré sur la rationalité procédurale, ne permet pas de mettre en œuvre. À noter que psychiatres et psychologues recourent souvent pour eux-mêmes à ces organismes de formation lorsqu’ils souhaitent pratiquer également la psychothérapie relationnelle.
En définitive on peut dire que les quatre professions du psychisme (psychiatre, psychologue clinicien, psychanalyste, psychopraticien relationnel (psychopraticien cautionné par le système institutionnel SNPPsy-Affop) pratiquent la psychothérapie (la psychanalyse en soi ne se classant pas comme psychothérapie à proprement parler mais acceptant parfois le principe de sa déclinaison psychothérapique), entité nous venons de le voir hétérogène. Ceci soit de manière uni-méthodique, soit poly-méthodique dans le seul cadre de la relationnellité, soit inter-méthodique ou plus rigoureusement interdisciplinaire, dans le cas de combinaison de méthodes issues des deux grandes familles disciplinaires prescriptive et relationnelle.
La coopération sur le terrain entre professionnels d’obédiences épistémologiques variées a d’ailleurs fonctionné de façon positive avant la nouvelle réglementation du titre de psychothérapeute par l’article 91 de la loi du 21 juillet 2009 (HTSP). Si préalablement à ce texte il n’existait aucune réglementation légale en la matière, ceux qui se sont appelés à partir de 2001 psychothérapeutes relationnels, conscients de la nécessité de procurer au public la garantie d’une éthique et d’un professionnalisme conséquents, avaient mis en place depuis bientôt un demi siècle l’encadrement de leur profession. Ils s’étaient regroupés pour créer successivement deux syndicats, le PSY’G (1966 puis 75) puis le SNPPsy (1981), puis deux fédérations, la FFdP (1996) puis l’AFFOP (1998)(13)
C’est sur la base de ces cinq critères qu’un processus de titularisation des professionnels par une Commission de pairs expérimentés d’une part, et d’agrément des organismes de formation d’autre part, fut mis en place, enregistrant professionnels et organisations sur des annuaires publics.
1) Les Quatre organismes représentatifs historiquement responsables susnommés se sont regroupés en 2010 dans le cadre du GLPR — Groupe de liaison de la psychothérapie relationnelle, qui maintient le dialogue et la concertation entre institutions résolues à fédérer leurs efforts au service de la psychothérapie relationnelle en dépit de leurs divergences.
2) Ne pas confondre le principe du classement taxinomique avec la pratique individuelle de chaque praticien, à charge pour chacun de la soutenir devant ses pairs. Tout le monde peut prétendre s’inscrire dans le champ disciplinaire de la psychothérapie relationnelle, en légitimant cette inscription par le jeu du Cinquième critère, pleinement en vigueur dans l’univers de référence AFFOP-SNPPsy-PSY’G. En dehors de quoi sa revendication et référence restent indécidables.
Mises à jour : 20 juillet 2011 – 19 août 2011 – 19 septembre 2011 – 11 septembre 2012 – 6 janvier 2013 – 9 janvier 2013 – 16 avril 2014 – 24 avril 2014 – 10 août 2014 – 15 mai 2015 – 9 juin 2015 – 16 juin 2015 – avril 2017 – août 2017 —